le sens du bruit des villes

On retrouve, en thailande plein de petites friandises enroulées dans des feuilles de bananier. À taï-nod, elle aparraissent un peu partout, offert par les invité, par la famille, ou d'autre mysterieux passant qui les laissent sur le bar en offrande. chaque matinée est une friandise, chaque friandise est une surprise. Nous en avons compté a peu près une quizaine de différentes. Il y a un peu de tout, beaucoup sont faites à bases de riz. Au début chacune est surprenante, mais avec le temps on apprend a les différencier grâce à la technique de pliage des feuilles. le but étant de les manger avant que les fourmia ne les trouvent (jamais vu des fourmis aussi vorace).

C'est au coin du marcher que je les ai aperçus, tous assis dans ce camion-bus, stationné sous le soleil qui brulait la carrosserie. Je pensais qu'ils allaient bientôt partir, quand j'aperçevais que le moteur était éteins. je n'ai pas pensé tous de suite que je pourrais les dessinner, parcequ'il me parraissait absurde d'attendre à l'arrière d'un camion sous un tel cagnard, et pensais donc qu'ils allaient reprendre la route sous peu. Je les admirais, et me décidai enfin a sortir de quoi dessiner, j'allais tous de meme faire un croquis, meme rapidement, parce qu'il était certain qu'il partiraient rapidement. Finalement je pus les observer, les voir vivre, commander du thé au vendeur qui vennait livrer au camion, et je compris qu'il ne sortait pas du camion parce qu'un tas de paquet et de colis se serrait entre eux et que l'organisation était précaire. je fus finalement un dessins de plusieurs minutes avant qu'un homme ne vienne charger des paquets de bouteilles sur le toît et décide d'emener ce joyeux wagon.

Today is not joy. My perception is altered and so i try to fix it with perception altering substances. It works to a mind-numbing point. But I can still feel an energy bubbling up to its boiling point as my roots twist teathered to the ant infested rice fields and the people that bathe in them. I gasp for a cold drink in hot sticky jungle heat. My suction cups are worn. I have no more glue. None of this matters because I am the jellyfish. I am the essence of ephemeral. I come on my time; I stay on theirs. I leave the moment my presence stagnates. Or when ant infestations that were once amusing are now unberable. When luxuries seems desirable. When strangers become familliar. When novelties become kitsch.

Julie.

Puis on a fuit bangkok et sommes arrivé à la maison tai nod, au sud, où P-yut le célèbre musiciens du groupe tai sawan vit avec sa famille et ses potes. Ici on ne parle pas l'anglais (P yut est quasiment le seul à connaitre quelques mots). Sabaii sabaii. on nous apprend a faire a mager a la mode d'ici. en gros, on va chercher des feuilles dans la foret, de l'ail, du sucre, et on fous tout sa a frire dans une grande poële. Y a des legumes frit, du fromage de poisson, du piment, quelques variete de riz étonnant. Y a des insectes qui bourdonnent, des insecte qui manges, des insecte gros, des rigolos, y a ceux qui piquent et ceux qu'on mange aussi. Cette grande maison sur pilotis, où il n y pas de pièce fermée est tres agréable. Ce bon cafe qu'on torréfie avant de moudre. ces friandises enrouler dans les feuilles de bananier, des scorpions gros comme une main, des arraignés, grosse comme des scorpions. Des chambres dans les arbres (la ou nous dormons), des feuilles mortes qui ont la taille d'un arbuste, des couleurs, de la musiques, une scène dans le jardins, des poules et un coq qui nous reveillent. Des conversations a base de syllabe chantée. Drôle de fruit, des herbes qu'on digère. Des plantes qui se plantent, une cabane au bord de la route, des fruits dans la cabane, des bananes frites. Un marcher tous les diamche, de la musique pour le marcher, des fruits pour les musiciens, boisson au couleur monarchique, des jardins anarchique, des feus. des héveas sur le bord de la route, des palmiers aussi, encore des mobylettes, des stations services au milieu de la jungle. des boeuf, des poules, des petis oiseaux, des gros insectes de la taille des petits oiseaux. des fourmis, des termites, et ces chers moustiques.

des odeurs. un melange de senteur de vieux poisson, couvert par le gout du piment rouge. Des couleurs. Du violet, la couleurs de la reine, des taxi roses, des tuktuks de ttes les couleurs, des touristes perdus ici depuis 12 ans, le bruit des cuisines qui investissent les trottoires. desrues couvertes par des marche chinois, des labyrinth de marcher etroit ou le poisson frit nous fixe en rigolant. bangkok et ses odeurs. ses fleuves sales, ou les lezard geant viennent se cacher entre les carcasse des poissons qui flottent a la surface. bangkok, ou le cagnard humide n'arrange rien. la villes, ces grand espace ouvert, ses living room a dispotitions, ses espaces pris par le public, ces rues vivantes. les grands buddha dore, des vastes temples tres propres au millieu du bordel de bangkok. orange, fruite, pimente. des filles qui ressemblent a des garcons ou inversement. mobylette, roi des rues. des pluis qui viennent de quatre directions en meem temps. la demeure du roi, de la reine et de sa famille. leurs grande image encadre d'or, et adore. prier en conduisant.

Les usa, c'etait sympas. On a debarquer en floride au moi de novembre. (= soleil dauphins, pelican, oiseaux tropical). La bas, si ta pas de vehicule tu ne peux rien faire. nous sommes arrives a osprey, chez la mere a julie qui occupe l'ancienne maison de sa mere (donc de la grand mama de julie) qui l'as perdu pendant la crise de 2008. c'est une grande maison, carre, avec une piscine, jacuzi, petite chute d'eau... une jolie maison a l'americaine au milieu des suburds infinis. Autour de cette grande maison, il y a d'autres grandes maisons, beaucoups, ce qui engendre ces grands suburds ou l'on ne trouve rien que des grandes maisons, avec des pelouses vertes fluo et tres bien tondues. on a beaucoup marche. bref on a finalement trouve une voiture, qui nous a permis de trouver du boulot qui nous a permis de s'en aller... Merci a tous ! Arriver en floride apres avoir sejourne en afrique (cap vert) sa change beaucoup. Apres 3 mois de service au petit bistrot, super restau francais a venice, on a fait un petit saut a la new orleans qui nous a remis sur pied, avant de reprendre les airs pour la thailande le 5 du moi de mai.

la floride c'est finalement un peu trop carre, un monde tres materialiste, ou la population riche et republicaine vient passer sa retraite. mais faut dire qu'il y a plein de pognon.

new orleans nous a fait un peu penser a l'afrique, avec plus de trompette, c'est une ville tres vivante.